Ce matin, réveil tôt encore une fois pour préparer ma valise. Mon vol avec Aegean Airlines est à 11h30, direction… Athènes !
Arrivée prévue à 15h15. Le vol ? Ça s’est bien passé.
Pour mon séjour, j’ai booké un Airbnb. L’appartement de Melina est super bien situé, proche du métro, à 7 minutes de marche. Le trajet depuis l’aéroport ? Simple comme bonjour : un changement de ligne pis t’arrives. Il est grand, propre, full équipé (oui oui, même une laveuse), et les proprios sont super réactifs. Bon, j’avoue, la marche du métro à l’appartement fait un peu “peur” au début, mais finalement rien à craindre. Bref, si vous cherchez un spot à Athènes, écrivez-moi, je vous refilerai le contact.
Ma première soirée ? Tranquille. Petite marche dans le quartier, arrêt à l’épicerie pour acheter de quoi me nourrir (lait, céréales, pâtes, pizza – parce que pourquoi pas). Pis dodo tôt, parce que demain c’est lundi… et c’est congé !
J’avais d’abord pensé me faire une virée express à Mykonos ou Santorin, mais après vérification (merci ChatGPT ), c’était pas réaliste. Je me suis donc tourné vers des îles proches d’Athènes. Mon choix ? Hydra. Pourquoi ? Parce qu’ici, pas d’auto, pas de moto : juste des mules et tes deux jambes. Déjà, ça annonçait un trip spécial.
Traversier à 8h30, arrivé 9h35. Première impression : wow. Ça fait du bien de marcher sans se faire klaxonner par un char, une moto ou un vélo. Hydra, c’est calme, beau pis vraiment unique.
Je commence ma visite du côté est : petit château (Kavos Castle) avec ses canons pis ses statues, puis je longe la côte. Entre un clocher d’église douteux, une mini-plage (Mandraki), un resort 5 étoiles au milieu de nulle part, et des airbnb perchés dans la montagne où les touristes regrettent clairement de pas avoir pris un mulet pour transporter leurs valises… disons que le spectacle est partout.
De retour au port, j’achète un sandwich pis une bouteille d’eau (0,50 € ici… mais 1,50 € rendu dans les petites rues) et je m’installe pour manger en regardant les bateaux flasher. Ensuite, balade dans les ruelles pavées : c’est charmant, ça sent parfois la marde de mule, mais ça fait partie du décor.
Comme à Istanbul, ici, les vrais boss, ce sont les chats. Partout. Gras, choyés, photographiés. Des vrais pachas.
J’ai fini la journée avec des pâtes sur une terrasse du port. Avant de repartir, j’ai traversé de l’autre côté pour voir le coucher de soleil : malade. Sérieusement, ça valait chaque goutte de sueur.
Retour à Athènes en soirée (traversier en retard – parce que Grèce oblige). Métro, Airbnb, et dodo bien mérité.
Mon verdict ? Si vous passez par Athènes et que vous avez une journée libre, mettez Hydra sur votre liste. Vous allez capoter.