Le vol vers Vienne – avec Austrian Airlines – s’est bien déroulé. Cependant, j’ai appris qu’il faut toujours faire son enregistrement 24h d’avance. Sinon on risque d’être en stand-by et c’’est ce qui m’est arrivé. Heureusement, la situation s’est réglé et j’ai réussi à prendre le vol, avant en bonus, un siège dans la rangée de la sortie de secours (plus d’espace).
Arrivé à Vienne, je cherchais le train vers le centre-ville, lorsque j’ai demandé au préposé du train, où je devais acheter le billet, elle me demande à quel endroit que je vais. Après avoir vu le lieu de mon hôtel, elle m’explique que le train est inutile pour moi et me suggère un trajet plus rapide via un autobus. Elle m’a fait sauver quatre euros – ça ne semble pas beaucoup – mais pour un gars avec un dollar canadien, ça fait toute une différence.
Arrivé à l’hôtel, je capote sur le Maxx by Steingenberger, il est tout simplement parfait. Que ce soit le hall, le bar – où j’y ai dégusté un « Abraham Lincoln » des plus succulents – à la chambre et que dire du personnel accueillant, qui m’ont offert un service en français – car ils ont vu que mon passeport était canadien – et le déjeuner qui était au-delà de mes attentes. Je vous recommande cet hôtel si jamais, Vienne est dans vos plan.
Autre chose frappante à Vienne, c’est la propreté ! Rien à voir avec Montréal ou Paris. Ici aucun papier, aucun botch de cigarette ne se retrouvent par terre. Vienne a bien compris, que pour la ville soit propre, ils se devaient d’installer des poubelles – avec cendrier intégré – à tous les coins de rues, qu’elle soit commerciale ou résidentielle. Une visite de nos élus municipaux montréalais à Vienne serait peut-être bénéfique pour ma ville.
Côté négatif de Vienne : Ça fume partout, partout, partout… même sur les terrasses et à l’intérieur des bars.